La Bible du Gné
Jeudi 9 Octobre 2008 à 18:58
Citation ( Kurokame le Mercredi 8 Octobre 2008 à 13:10 )
C'est énorme ! :lol:
La suite ! :aaarg:
PS : J'adore la poésie. :lol:
(...) dans le sternum de la jambe (...)
C'est énorme ! :lol:
La suite ! :aaarg:
PS : J'adore la poésie. :lol:
Au commencement, l'univers fut créé. Cela mécontenta beaucoup de monde, et fut largement considéré comme une mauvaise idée.
Samedi 11 Octobre 2008 à 12:13
alors je suis heureuse parce que j'ai eu mon permis donc je met la suite de la bible pour fêter ça :
Nouvelle légende, tres importante, celle de la création de l'Enfer selon Le Gné, et la naissance de son diable:
2-La légende du radis déchu
Il vînt un jour ou, dans le potager céleste, le grand gné jardinait, gratouillant la terre avec aisance. Il faisait pousser une multitude de végétaux juguleux. Après s'être fouetter, il décida d'arracher toute herbe malsaine de son lopin de terre ancestral. Il s'y employa avec ferveur et pathologie, quant il fît une chose qu'il n'aurait point dû. Il arracha un radis défraîchi et le jeta du haut de sa demeure céleste. Celui-ci atterri dans la contrée des salsifi. Ce radis racorni, désireux de se venger de l'affront du grand gné qui l'avait exclu du potager divin, décida prendre sa revanche. Et pour cela, il aurait besoin de l'aide des crédules salsifi pour apporter désolation et constipation dans le monde. Il s'adressa donc à eux :
"Mes frères, proclama le radis devant une assemblée aussi bouche bée qu'une morue dans un plat portugais, n'en avez vous point-a-pître de cette domination sanguinolente décrépie? Ne sentez vous au fond de vous une envie de révolte? Ne sentez vous donc cette envie gronder comme les chutes du ni-agara au fond de vos âmes détrempées telles des cirés bretons? Ne rêvez vous pas, en secret, de vous levez et de marcher contre ce grand Gné? Cet oppresseur démoniaque hyperméable? Alors levez vous mes frères, levez vous et rejoignez moi, faisons front ensemble, tel les points noirs sous un biactol morigéné! Oui en vérité je vous le dis, je vous offre l'opportunité d'écraser sous vos pieds cette larve frauduleuse qu'est le grand Gné! Marchez avec moi et vous trouverez la voie d'un étalement terrien tel qu'on n'en a pas vu depuis les grandes inondations de la loir! Vous serez mes seconds, et mes troisièmes, et je vous donnerai puissance, gloire et richesse! Voyez, je vous offre l'opportunité de vivre non plus sous la férule métallique mortifère du grand Gné, mais bel et bien l'occasion de devenir les nouveaux dieux!!!"
Ainsi parla le radis et ainsi commença la grande reconquête du potager. Le radis rabougri comme un raisin sec dans le Sahara souleva les foules sur son passage, le peuple rigoureux et juxtaposé le suivait tel un suppositoire dans un tuyau d'arrosage. Le radis jubilait. La vengeance était proche. Il combattrait le grand gné et règnerait sur le potager tel une moule sur un rocher. Mais pour cela, il avait besoin d'une arme de destruction, d'une arme de désolation qui pourfendrait le grand Gné tel un couteau sur un bout de beurre fondu. Et il connaissait l'arme parfaite. L'arme qui l'accompagnerait dans son périple titanesque et mozambique : La brosse à chiottes de mercure. Elle se trouvait dans l'antre du steak haché.
Il devait aller la récupérer. Il se mit donc en marche, accompagné de son armée de salsifi, et parti affronter le steak haché dans son antre de macédoine. Le radis arriva donc en macédoine, il avait du traverser des océans de grenadine, des déserts arides ou aucune vie multimédiale n'avait pu exister, mais il y était arrivé, sa horde de suivant le...suivait toujours, de plus en plus exalté par la connivence omnisciente du radis. Ils arrivèrent en macédoine, la ou le steak haché les attendait, veillant furieusement sur son plus grand trésor: la brosse a chiotte en mercure, et au fur et à mesure qu'ils approchaient de l'antre tétraïdal de la bête féroce, ils sentaient monter en eux l'angoisse de la bataille et l'excitation de ceux qui vont faire quelque chose de marquant, ils sentaient au fur et a mesure ces sensations les dévorer comme un chat dévore ses chéba. Puis ils arrivèrent, ils finirent par être juste devant l'antre de la bête et ils y rentrèrent, conscient tout un chacun qu'ils y livreraient le deuxième plus grand combat de leur vie, le premier étant celui des soldes chez Auchan au rayon papier toilette lors du grand jour de chiasse.
Le steak haché se tenait près, nageant dans sa vinaigrette. Il mesurait plus de 15 cm, mais le radis n'avait pas peur. Il vaincrait cet amas de viande carbonisée et kilométrique. Il prit son élan, soutenu par les cris de joie et d'hystérie de la foule captivée et cadenassée qui le suivait inlassablement. Et alors, le combat commença. La lutte dure 3jours, 4 heures, 56 minutes et 34 secondes. Ce fut un carnage sans nom, choquant à jamais carnivores et végétariens. Des lambeaux de radis râpé volaient, accompagné de bouts de steak haché sanguinolent. Le steak haché et le radis tenaient à peine debout, quant, dans un soubresaut planétaire et squelettique le radis porta le coup final. Il brandit son omelette norvégienne, qu'il gardait toujours dans son slip en cas de besoin, et terrassa le steak haché, s'emparant ainsi de la brosse à chiottes de mercure. Il partit donc à la rencontre du grand Gné afin de reprendre le contrôle du potager. Mais celui ci, maître de toute chose sur terre, l'attendait de pied ferme avec son armée de paramécies et de ventriloques au topinambour.
Nouvelle légende, tres importante, celle de la création de l'Enfer selon Le Gné, et la naissance de son diable:
2-La légende du radis déchu
Il vînt un jour ou, dans le potager céleste, le grand gné jardinait, gratouillant la terre avec aisance. Il faisait pousser une multitude de végétaux juguleux. Après s'être fouetter, il décida d'arracher toute herbe malsaine de son lopin de terre ancestral. Il s'y employa avec ferveur et pathologie, quant il fît une chose qu'il n'aurait point dû. Il arracha un radis défraîchi et le jeta du haut de sa demeure céleste. Celui-ci atterri dans la contrée des salsifi. Ce radis racorni, désireux de se venger de l'affront du grand gné qui l'avait exclu du potager divin, décida prendre sa revanche. Et pour cela, il aurait besoin de l'aide des crédules salsifi pour apporter désolation et constipation dans le monde. Il s'adressa donc à eux :
"Mes frères, proclama le radis devant une assemblée aussi bouche bée qu'une morue dans un plat portugais, n'en avez vous point-a-pître de cette domination sanguinolente décrépie? Ne sentez vous au fond de vous une envie de révolte? Ne sentez vous donc cette envie gronder comme les chutes du ni-agara au fond de vos âmes détrempées telles des cirés bretons? Ne rêvez vous pas, en secret, de vous levez et de marcher contre ce grand Gné? Cet oppresseur démoniaque hyperméable? Alors levez vous mes frères, levez vous et rejoignez moi, faisons front ensemble, tel les points noirs sous un biactol morigéné! Oui en vérité je vous le dis, je vous offre l'opportunité d'écraser sous vos pieds cette larve frauduleuse qu'est le grand Gné! Marchez avec moi et vous trouverez la voie d'un étalement terrien tel qu'on n'en a pas vu depuis les grandes inondations de la loir! Vous serez mes seconds, et mes troisièmes, et je vous donnerai puissance, gloire et richesse! Voyez, je vous offre l'opportunité de vivre non plus sous la férule métallique mortifère du grand Gné, mais bel et bien l'occasion de devenir les nouveaux dieux!!!"
Ainsi parla le radis et ainsi commença la grande reconquête du potager. Le radis rabougri comme un raisin sec dans le Sahara souleva les foules sur son passage, le peuple rigoureux et juxtaposé le suivait tel un suppositoire dans un tuyau d'arrosage. Le radis jubilait. La vengeance était proche. Il combattrait le grand gné et règnerait sur le potager tel une moule sur un rocher. Mais pour cela, il avait besoin d'une arme de destruction, d'une arme de désolation qui pourfendrait le grand Gné tel un couteau sur un bout de beurre fondu. Et il connaissait l'arme parfaite. L'arme qui l'accompagnerait dans son périple titanesque et mozambique : La brosse à chiottes de mercure. Elle se trouvait dans l'antre du steak haché.
Il devait aller la récupérer. Il se mit donc en marche, accompagné de son armée de salsifi, et parti affronter le steak haché dans son antre de macédoine. Le radis arriva donc en macédoine, il avait du traverser des océans de grenadine, des déserts arides ou aucune vie multimédiale n'avait pu exister, mais il y était arrivé, sa horde de suivant le...suivait toujours, de plus en plus exalté par la connivence omnisciente du radis. Ils arrivèrent en macédoine, la ou le steak haché les attendait, veillant furieusement sur son plus grand trésor: la brosse a chiotte en mercure, et au fur et à mesure qu'ils approchaient de l'antre tétraïdal de la bête féroce, ils sentaient monter en eux l'angoisse de la bataille et l'excitation de ceux qui vont faire quelque chose de marquant, ils sentaient au fur et a mesure ces sensations les dévorer comme un chat dévore ses chéba. Puis ils arrivèrent, ils finirent par être juste devant l'antre de la bête et ils y rentrèrent, conscient tout un chacun qu'ils y livreraient le deuxième plus grand combat de leur vie, le premier étant celui des soldes chez Auchan au rayon papier toilette lors du grand jour de chiasse.
Le steak haché se tenait près, nageant dans sa vinaigrette. Il mesurait plus de 15 cm, mais le radis n'avait pas peur. Il vaincrait cet amas de viande carbonisée et kilométrique. Il prit son élan, soutenu par les cris de joie et d'hystérie de la foule captivée et cadenassée qui le suivait inlassablement. Et alors, le combat commença. La lutte dure 3jours, 4 heures, 56 minutes et 34 secondes. Ce fut un carnage sans nom, choquant à jamais carnivores et végétariens. Des lambeaux de radis râpé volaient, accompagné de bouts de steak haché sanguinolent. Le steak haché et le radis tenaient à peine debout, quant, dans un soubresaut planétaire et squelettique le radis porta le coup final. Il brandit son omelette norvégienne, qu'il gardait toujours dans son slip en cas de besoin, et terrassa le steak haché, s'emparant ainsi de la brosse à chiottes de mercure. Il partit donc à la rencontre du grand Gné afin de reprendre le contrôle du potager. Mais celui ci, maître de toute chose sur terre, l'attendait de pied ferme avec son armée de paramécies et de ventriloques au topinambour.
Samedi 11 Octobre 2008 à 12:32
Que va-t-il se passer entre le Gné et le radis avec sa brosse à chiotte ?
Nous le saurons dans le prochain épisode. :aaarg:
Citation ( Kurokame le Samedi 11 Octobre 2008 à 12:13 )
C'est vraiment excellent ! :lol:
Nous le saurons dans le prochain épisode. :aaarg:
Citation ( Kurokame le Samedi 11 Octobre 2008 à 12:13 )
tel un suppositoire dans un tuyau d'arrosage
C'est vraiment excellent ! :lol:
Au commencement, l'univers fut créé. Cela mécontenta beaucoup de monde, et fut largement considéré comme une mauvaise idée.
Samedi 11 Octobre 2008 à 13:20
Vivment la suite pour savoir ce qui va se passer entre le Gné et le radis armée d'une brosse à chiote de mercure.
C'est vraiment excellent ! Qui s'attendait à ce que le radis sorte une omelette de son slip ? :lol: Et encore un immense bravo :bravo:
C'est vraiment excellent ! Qui s'attendait à ce que le radis sorte une omelette de son slip ? :lol: Et encore un immense bravo :bravo:
Boire ou conduire, il faut choisir ! Choisir de boire, c'est bien se conduire ...
Samedi 11 Octobre 2008 à 14:53
Mille BRAVO Kurokame !!! Ta Bible est de mieux en mieux !
Qu'est-ce que la vie ?
C'est la lumière d'un luciole dans la nuit.
C'est le souffle du bison en hiver.
C'est une petite ombre qui court dans l'herbe et va se perdre dans le coucher de soleil...
Patte de Corbeau, Pied-Noir
C'est la lumière d'un luciole dans la nuit.
C'est le souffle du bison en hiver.
C'est une petite ombre qui court dans l'herbe et va se perdre dans le coucher de soleil...
Patte de Corbeau, Pied-Noir
Samedi 11 Octobre 2008 à 18:47
:lol: :aaarg: EXCELLENT !!! ROFL C'est puissant ! Si seulement la Bible était comme ça ! :roll:
We are ODSTs
*musique d'ascenseur* Afin d'éviter toutes lacérations, lobotomies et flagellations, il est vivement conseillé de faire attention à son orthographe. Merci. *musique d'ascenseur*
*musique d'ascenseur* Afin d'éviter toutes lacérations, lobotomies et flagellations, il est vivement conseillé de faire attention à son orthographe. Merci. *musique d'ascenseur*
Vendredi 17 Octobre 2008 à 21:49
après quelques temps d'absence, je reviens parmi vous vous livrer la suite des aventures du gné!!
désolée d'avoir attendu aussi longtemps mais j'ai du fêter mon anniv, fêter mon permis, et puis les cours et tout...
enfin, voici la fin de l'histoire du radis déchu!!
Le combat s'engagea alors que le radis n'était qu'a quelques jeters de pots de confitures a la fraise du grand Gné, les deux armées s'entrechoquant dans un fracas terrible et dont l'écho résonna jusqu'au plus profond des crânes de souris, pour l'éternité des éternités, bref, ce fut une explosion de sang, de membre découpés et de morceaux de topinambour. Et la, au plus profond de la bataille, le radis observa ses troupes et compris que la victoire ne pouvait lui échapper, il gagnerait, il en était certain, son armée était supérieure en nombre et il avait la brosse a chiottes de mercure si le grand Gné amenait le bout de son museau de coléoptère invertébré. Mais alors que le radis jubilait, Il apparut, rayonnant de milles compteurs électriques sur son carrosse de côte pur, toujours tiré par ses légendaires et fidèles canards WC tricéphales dont la puissance n'avait d'égale que la pilosité dérangeante. Il apparut donc, survolant le champ de bataille, et de sa grande épée "extraliburnes" faisait voler les têtes et autres proéminences nervurées de ses adversaires, et, par Sa puissance légendaire qui lui avait permis de créer le potager céleste, mit en déroute l'armée de légumes braisés adverses, mais le radis l'avait prévu, il brandit la brosse a chiotte de mercure et prononça la grande formule qui lui permettrait de tuer Le dieu:
"ASUCEBIRALATOUFFFFFFFFFFFFFFFFF"
Le dieu, surpris de voir son adversaire en la possession du seul artefact capable de le vaincre utilisa son pouvoir le plus puissant: il invoqua la glyphe sacrée qui bannirait du potager n'importe lesquels de ses ennemis mais qui lui coûterait le quart de son gâteau: "MWAPLUSSKETWAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA"
Le pouvoir invoqué par le grand Gné était terrifiant. Le ciel se teinta de nuages noirs, les nuages de yoplait commencèrent à déverser leur urine et les éclair au chocolat transpercèrent les cieux granuleux. Un tremblement de terre aussi puissant qu'un pet de mammouth ayant des gaz ébranla la planète. Et alors, elle apparut. La créature la plus terrifiante que l'on a jamais vu de nos pupilles dilatées par les gouttes de l'ophtalmologiste. L'ennemi juré de tout radis banni du potager céleste : La cerise scaphandrier qui fait de la mobylette sans roue!!!! Elle apparu, agitant son pédoncule verdoyant dans la nuit et fit face au radis qui brandissait sa brosse à chiotte de mercure.
Le combat commença, chacun des deux combattants conscients que l'issue de ce duel changerait la face de la bataille comme un coup de langue change un pépito, le combat fut encore une fois terrible, aucun des deux opposants ne voulant céder ne serait-ce qu'un quart de cookies a l'autre. Leur duel dura 7heures, 27minutes et 62 secondes, tous ressentais l'écho de cette bataille au plus profond de leurs paramécies, le radis se démenant comme un poisson sur le chemin de la poêle, agitant sa brosse a chiottes de mercure de part et d'autre sans aucun temps mort et dans la fureur la plus féconde. La cerise elle aussi, usant de son destrier motorisé sans roue d'une manière que seule l'expérience des champs de batailles légumiques lui permettait, et alors que la puissance de ce combat atteignait son apogée, alors que le radis semblait plus que jamais aussi invincible qu'un éléphant lorsqu'il a remarqué une moufette des plus appétissantes, la cerise employa son coup spécial: elle invoqua la puissance du bonduelle pour ranger le potager, et les suivants des radis ne purent y résister, ils se firent tous massacrer, a l'exception de 7 moules a la moutarde, toutefois, le radis, lui, y avait survécu, employant son courage a deux mains, et sa brosse a chiottes de mercure dans l'autre, il terrassa la cerise, laissant sa moto sans roues sans voix.
A présent il se dressait, seul, devant son ennemi le plus juré, mais aussi le plus puissant, Le grand Gné.
Le radis sentait des gouttes de sève froide couler le long de ses racines. Le Gné se tenait droit devant lui, aussi imposant qu'un crépuscule africain dans l'histogramme de la gargouille. Il semblait sur de lui. Car il était Le grand Gné. Le radis, lui, se sentait aussi désarmé qu'une rondelle d'huile d'olive dans une roue de secours. Il brandit sa brosse à chiotte de mercure, faisant face au Gné. Celui-ci tenait fermement son fouet fétiche. Des paramécies de combat se tenant à ses cotés. Le radis se savait perdu. Mais il ne pouvait pas renoncer. Pas après toutes ces épreuves. Il n'avait plus d'omelette norvégienne dans son slip, et plus d'armée. Il ne pouvait même pas prier, car le dieu se tenait devant lui. Rassemblant son courage, il chargea le grand Gné, sa brosse à chiotte de mercure rutilmant au soleil telle une menthe à l'eau quadrupède.
Et pour la 4eme fois de cette légende, le combat fit rage, mais il ne s'agissait plus de vaincre un steak haché ou une cerise non! Il s'agissait maintenant de tuer un dieu.
Le radis se savait perdu d'avance, il savait que face à Lui, face au Gné, il avait aussi peu de chances de l'emporter qu'un ours polaire sous morphine prisonnier d'un zoo du Zimbabwe de regagner son état naturel.
Il monta tout de même à l'assaut, sa rancoeur le poussant en avant, son souvenir de la jetée du Grand palais lui amenant force, détermination et boissons. Mais, alors qu'il montait a l'assaut du Gné tel la mouche se ruant sur le chien sanguinolent alphabétisé, il fut repoussé, Il, notre seigneur pyramidal a la liqueur de chocolat, n'avait même pas eu besoin de révéler sa force, ni même d'excuser le moindre geste déplacé, il avait pourtant gagné, aussi sur que 3+3=2, le radis mesura alors toute l'ampleur de son erreur, et sa bêtise lui apparut toute entière, tel l'Everest a un bonze tibétain égaré. Mais au lieu d'attendre la juste punition qu'il méritait, le radis s'enfuit, emmenant avec lui ses 7 moules à la moutarde qui avaient survécu et s'enfuit du potager.
Ce petit être végétal n'avait plus de demeure. Jamais il ne reverrait le potager céleste. Il le savait à présent. Il abandonna sa brosse à chiotte de mercure, symbole de sa défaite, dans des wawa à la turque, et il s'en alla, suivit de ses 7 moules à la moutarde. Il devait créer un lieu pour les maudit, pour les récalcitrant, pour les fricassé, pour les chanteurs de la star académy et pour tous les radis déchu. Ce lieu serait un lieu de désolation et de méandre de brume.. Il y règnerait en maître pour toujours et à jamais. Il en serait le maître tout puissant et accueillerait tout être voulant s'opposer au Gné. Et en ce lieu si propageant et asthmatique, il rejetterait le culte du fouet. Et ce lieu s'appellerait : Bainmarie les Lys!!! Craignez ce nom à jamais pauvres mortels, car le radis déchu attend dans l'ombre l'heure de sa vengeance.
désolée d'avoir attendu aussi longtemps mais j'ai du fêter mon anniv, fêter mon permis, et puis les cours et tout...
enfin, voici la fin de l'histoire du radis déchu!!

Le combat s'engagea alors que le radis n'était qu'a quelques jeters de pots de confitures a la fraise du grand Gné, les deux armées s'entrechoquant dans un fracas terrible et dont l'écho résonna jusqu'au plus profond des crânes de souris, pour l'éternité des éternités, bref, ce fut une explosion de sang, de membre découpés et de morceaux de topinambour. Et la, au plus profond de la bataille, le radis observa ses troupes et compris que la victoire ne pouvait lui échapper, il gagnerait, il en était certain, son armée était supérieure en nombre et il avait la brosse a chiottes de mercure si le grand Gné amenait le bout de son museau de coléoptère invertébré. Mais alors que le radis jubilait, Il apparut, rayonnant de milles compteurs électriques sur son carrosse de côte pur, toujours tiré par ses légendaires et fidèles canards WC tricéphales dont la puissance n'avait d'égale que la pilosité dérangeante. Il apparut donc, survolant le champ de bataille, et de sa grande épée "extraliburnes" faisait voler les têtes et autres proéminences nervurées de ses adversaires, et, par Sa puissance légendaire qui lui avait permis de créer le potager céleste, mit en déroute l'armée de légumes braisés adverses, mais le radis l'avait prévu, il brandit la brosse a chiotte de mercure et prononça la grande formule qui lui permettrait de tuer Le dieu:
"ASUCEBIRALATOUFFFFFFFFFFFFFFFFF"
Le dieu, surpris de voir son adversaire en la possession du seul artefact capable de le vaincre utilisa son pouvoir le plus puissant: il invoqua la glyphe sacrée qui bannirait du potager n'importe lesquels de ses ennemis mais qui lui coûterait le quart de son gâteau: "MWAPLUSSKETWAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA"
Le pouvoir invoqué par le grand Gné était terrifiant. Le ciel se teinta de nuages noirs, les nuages de yoplait commencèrent à déverser leur urine et les éclair au chocolat transpercèrent les cieux granuleux. Un tremblement de terre aussi puissant qu'un pet de mammouth ayant des gaz ébranla la planète. Et alors, elle apparut. La créature la plus terrifiante que l'on a jamais vu de nos pupilles dilatées par les gouttes de l'ophtalmologiste. L'ennemi juré de tout radis banni du potager céleste : La cerise scaphandrier qui fait de la mobylette sans roue!!!! Elle apparu, agitant son pédoncule verdoyant dans la nuit et fit face au radis qui brandissait sa brosse à chiotte de mercure.
Le combat commença, chacun des deux combattants conscients que l'issue de ce duel changerait la face de la bataille comme un coup de langue change un pépito, le combat fut encore une fois terrible, aucun des deux opposants ne voulant céder ne serait-ce qu'un quart de cookies a l'autre. Leur duel dura 7heures, 27minutes et 62 secondes, tous ressentais l'écho de cette bataille au plus profond de leurs paramécies, le radis se démenant comme un poisson sur le chemin de la poêle, agitant sa brosse a chiottes de mercure de part et d'autre sans aucun temps mort et dans la fureur la plus féconde. La cerise elle aussi, usant de son destrier motorisé sans roue d'une manière que seule l'expérience des champs de batailles légumiques lui permettait, et alors que la puissance de ce combat atteignait son apogée, alors que le radis semblait plus que jamais aussi invincible qu'un éléphant lorsqu'il a remarqué une moufette des plus appétissantes, la cerise employa son coup spécial: elle invoqua la puissance du bonduelle pour ranger le potager, et les suivants des radis ne purent y résister, ils se firent tous massacrer, a l'exception de 7 moules a la moutarde, toutefois, le radis, lui, y avait survécu, employant son courage a deux mains, et sa brosse a chiottes de mercure dans l'autre, il terrassa la cerise, laissant sa moto sans roues sans voix.
A présent il se dressait, seul, devant son ennemi le plus juré, mais aussi le plus puissant, Le grand Gné.
Le radis sentait des gouttes de sève froide couler le long de ses racines. Le Gné se tenait droit devant lui, aussi imposant qu'un crépuscule africain dans l'histogramme de la gargouille. Il semblait sur de lui. Car il était Le grand Gné. Le radis, lui, se sentait aussi désarmé qu'une rondelle d'huile d'olive dans une roue de secours. Il brandit sa brosse à chiotte de mercure, faisant face au Gné. Celui-ci tenait fermement son fouet fétiche. Des paramécies de combat se tenant à ses cotés. Le radis se savait perdu. Mais il ne pouvait pas renoncer. Pas après toutes ces épreuves. Il n'avait plus d'omelette norvégienne dans son slip, et plus d'armée. Il ne pouvait même pas prier, car le dieu se tenait devant lui. Rassemblant son courage, il chargea le grand Gné, sa brosse à chiotte de mercure rutilmant au soleil telle une menthe à l'eau quadrupède.
Et pour la 4eme fois de cette légende, le combat fit rage, mais il ne s'agissait plus de vaincre un steak haché ou une cerise non! Il s'agissait maintenant de tuer un dieu.
Le radis se savait perdu d'avance, il savait que face à Lui, face au Gné, il avait aussi peu de chances de l'emporter qu'un ours polaire sous morphine prisonnier d'un zoo du Zimbabwe de regagner son état naturel.
Il monta tout de même à l'assaut, sa rancoeur le poussant en avant, son souvenir de la jetée du Grand palais lui amenant force, détermination et boissons. Mais, alors qu'il montait a l'assaut du Gné tel la mouche se ruant sur le chien sanguinolent alphabétisé, il fut repoussé, Il, notre seigneur pyramidal a la liqueur de chocolat, n'avait même pas eu besoin de révéler sa force, ni même d'excuser le moindre geste déplacé, il avait pourtant gagné, aussi sur que 3+3=2, le radis mesura alors toute l'ampleur de son erreur, et sa bêtise lui apparut toute entière, tel l'Everest a un bonze tibétain égaré. Mais au lieu d'attendre la juste punition qu'il méritait, le radis s'enfuit, emmenant avec lui ses 7 moules à la moutarde qui avaient survécu et s'enfuit du potager.
Ce petit être végétal n'avait plus de demeure. Jamais il ne reverrait le potager céleste. Il le savait à présent. Il abandonna sa brosse à chiotte de mercure, symbole de sa défaite, dans des wawa à la turque, et il s'en alla, suivit de ses 7 moules à la moutarde. Il devait créer un lieu pour les maudit, pour les récalcitrant, pour les fricassé, pour les chanteurs de la star académy et pour tous les radis déchu. Ce lieu serait un lieu de désolation et de méandre de brume.. Il y règnerait en maître pour toujours et à jamais. Il en serait le maître tout puissant et accueillerait tout être voulant s'opposer au Gné. Et en ce lieu si propageant et asthmatique, il rejetterait le culte du fouet. Et ce lieu s'appellerait : Bainmarie les Lys!!! Craignez ce nom à jamais pauvres mortels, car le radis déchu attend dans l'ombre l'heure de sa vengeance.
Vendredi 17 Octobre 2008 à 22:06
:lol: :lol: :lol: C'est toujours aussi bien ! :lol: J'ai adoré le "62 secondes" ^^
We are ODSTs
*musique d'ascenseur* Afin d'éviter toutes lacérations, lobotomies et flagellations, il est vivement conseillé de faire attention à son orthographe. Merci. *musique d'ascenseur*
*musique d'ascenseur* Afin d'éviter toutes lacérations, lobotomies et flagellations, il est vivement conseillé de faire attention à son orthographe. Merci. *musique d'ascenseur*
Vendredi 17 Octobre 2008 à 22:21
:lol: :lol: :lol: C'est vraiment excellant :lol: :aaarg: !!! et encore un très grand bravo :bravo: :bravo: :bravo:
Boire ou conduire, il faut choisir ! Choisir de boire, c'est bien se conduire ...
Samedi 18 Octobre 2008 à 10:12
Wahou c'est vraiment balèze :aaarg: :aaarg: :aaarg: :aaarg: chui FAAAAAAAAAAAN. Sinon bah, c'est vraiment génial, comme à ton habitude !
Qu'est-ce que la vie ?
C'est la lumière d'un luciole dans la nuit.
C'est le souffle du bison en hiver.
C'est une petite ombre qui court dans l'herbe et va se perdre dans le coucher de soleil...
Patte de Corbeau, Pied-Noir
C'est la lumière d'un luciole dans la nuit.
C'est le souffle du bison en hiver.
C'est une petite ombre qui court dans l'herbe et va se perdre dans le coucher de soleil...
Patte de Corbeau, Pied-Noir
Vendredi 31 Octobre 2008 à 21:59
Hey !!! Kurokame !!
T'es mort, en manque d'inspiration ou est-ce que les histoires Du Gné sont finies ??
Surement pas la dernière proposition car Le Gné est immortel et marrant !! So, what happend ?!!!
Edit : Je me rend compte que je viens de remonter un assez vieux topic et je m'en excuse ! ^^
T'es mort, en manque d'inspiration ou est-ce que les histoires Du Gné sont finies ??
Surement pas la dernière proposition car Le Gné est immortel et marrant !! So, what happend ?!!!
Edit : Je me rend compte que je viens de remonter un assez vieux topic et je m'en excuse ! ^^
Le salsifi rabougri sera toujours à vos services !
Vendredi 7 Novembre 2008 à 20:19
alors déja Eight, je suis une fille, donc "mortE"
et non, je susi là!! je revis!!! wééééééééééééééééé!!!
désolée pour mon absence, mais j'ai été fort dédordée, tu travail en cours, des révisions, une semaine en amoureux avec mon copain, et reboulot, et puis plein de truc quoi!!
mais me voilà!! et allez suis gentille je met la suite!!
La quête des 26 disciples, partie 1.
Le Gné ayant chassé le radis hors de son potager, et ayant bien retourné le potiron lors de la pleine lune, décida qu'afin qu'une pareille hérésie ne se reproduise pas, il devait trouver des disciples qui porteront Son divin message par delà les limites convergentes de son potager. Il décida d'en prendre 26, car c'était logique
Le Gné parti donc, laissant derrière lui sa divine demeure et son potager céleste. Et Il descendit sur la terre nouvellement créée afin de trouver le premier de ses disciples. Il arpenta durant des heures les chemins poussiéreux et ventriloques dans l'espoir de croiser un être digne de le suivre.
Il le croisa, lors de la fête nationale de la vache, il se trouvait là des centaines de paramécies humaines venues pour gratter le cul de la vache, et une seule, lorsqu'elle aperçut le Gné, cria à ses congénères de s'arrêter, il leurs demanda de respecter la volonté toute édulcorée du Gné, et de ne pas gratter le cul de la vache, comme le lui avait appris le 3eme commandement, qu'il s'était procuré
par on ne sait quel miracle
Les autres paramécies, ne reconnaissant pas le Gné, continuèrent à gratter furieusement le cul de la vache, frottant toujours plus fort sur le postérieur de l'animal. Et la petite paramécie les regardait, implorant ses congénères d'arrêter car telle était la volonté du Gné. Mais personne n'écouta. Alors, la paramécie solitaire vînt s'agenouiller devant Lui, implorant le pardon pour ses congénères. Le Gné en eu la cuisse tourneboulée. Il proposa à la paramécie de devenir son premier disciple. Celle-ci accepta et, pour facilité le voyage trépidant et juguleux du Gné, lui proposa de chevauché sa tondeuse à gazon deux place avec sièges en cuir.
Le Gné accepta, il prit place sur la tondeuse a gazon, et parti avec son premier disciple, qui s'appelait saint pierre mais que tout le monde appelait jean pierre, ils partirent vers le pays du soleil couché, la bas loin au Nord ou les glaçons ont froid et ou les congélateurs vivent heureux, libres, et acidulés, ils partirent pour le petit-nez-land, chercher le deuxième disciple, dont, disait-on,
la sagesse était puéricultrice
La tondeuse à gazon filait à toute allure sur les routes de glace au chocolat de petit-nez-land. Ils croisèrent un troupeau de congélateurs en rut qui gambadait dans la glace au chocolat, aussi gracieusement que leur physique le leur permettait. Après quelques kilomètres, ils trouvèrent une ville isolée, recouverte de pamplemousses givrés. Ils s'y rendirent, et là, ils trouvèrent un mammouth à poil court, sur le dos se faisant attaquer par le plus terrible des fléaux : la marmaille!!!
La marmaille braillait, attaquait sans relâche le pauvre mammouth, lui faisant subir les pires supplices ventriloques possibles, le recouvrant de crachas et autres atrocités dont seuls ces êtres petits, mesquins et détestables ont le secret. Mais le Gné, vint et rétablit l'ordre dans tout cela, il expédia la marmaille d'une pichenette de son auriculaire, et, affichant un mépris profond dit
"Allez-vous en, car je suis le et ma volonté est que ce mammouth a poil ras ait la paramécie sauve"
Le mammouth, heureux de trouver de l'aide, s'agenouilla devant le Gné et fit frétiller son appendice nasal en guise de reconnaissance. Les yeux du pauvre pachyderme brillaient, tel un cassoulet au clair de lune par un matin de printemps lorsque le soleil brille pendant une éclipse. Le Gné reconnu immédiatement son deuxième disciple et lui proposa de l'accompagner dans son périple. Mais un problème allait survenir : la tondeuse à gazon deux places avec sièges en cuir n'avait, comme son nom l'indique, que deux places. C'est alors que le mammouth à poils courts, plein de gratitude et d'hémorroïdes envers le Gné, lui fit don de son tracteur agricole avec remorque
Le Gné monta donc dans le tracteur avec remorque, il emmenait avec lui ses deux disciples, la tondeuse a gazon qui pourrait à nouveau servir et sa mouffette a poil ras tricolore et myope qui l'avait suivi.
Il se mit en quête de son 3eme disciple, qu'il trouverait disait-on, dans les contreforts des montagnes, la ou le soleil trapézoïdal touche presque du bout de son oreille cornue la cime de la tête des forêts d'arbres séquoia. Mais le Gné ne savait pas, malgré son intelligence aussi étendue que du persil dans un potager d'Afrique, que ce n'était pas un nouveau disciple qui l'attendait, mais deux!!! Le joyeux groupe avançait sur le tracteur avec remorque, chantant les louanges du Gné ainsi que le dernier tube de Lorie, quand tout à coup, ils virent sur le petit chemin rocailleux, un amas de chair, de poil et de cornes. Ils s'arrêtèrent et découvrirent une chose étonnante : un abricot déguisé en père Noël monté sur le dos d'une chèvre naine.
L'abricot déguisé en père Noël et sa chèvre naine étaient tout rouleau pâtissier par cette divine apparition, et par ces chansons horribles comparables à un orchestre de scies musicales sur un tableau noir, il s'avança vers le Gné et sa suite, et dit ainsi: "je suis un abricot qui aime se déguiser en père noël, et elle une chèvre naine, nous avons besoin d'être vos disciples pour pouvoir acheter
des macaronis et de la sauce tomate"
Le Gné sentit une joie aussi soudaine que la diahrée monter en lui. Il avait trouvé deux nouveaux disciples. Il voyait la sagesse dans les yeux de la chèvre naine, et il reconnaissait en l'abricot un illustre personnage. De plus, leur cause était noble. En effet, quoi de mieux que d'aspirer au bonheur des macaronis et de la sauce tomate? Le Gné convia donc ses deux nouveaux compères à se joindre à lui et pris la direction du Grand Baobab, là où vivent les marmottes tropicales.
Il avait en effet décidé de faire d'une marmotte tropicale palmée a poil ras son nouveau disciple, la remorque du tracteur pouvant contenir aisément la chèvre naine et l'abricot, ils se mirent en route, toutefois, rapidement, un problème survint, ils avaient faim, en effet, le Gné et ses disciples avaient quittés leur chez eux respectifs depuis au moins un cycle de caribou enrhumé, ils décidèrent
alors de s'arrêter manger à un hippopotamus
Mais le problème est qu'aucun d'entre eux n'avait d'argent et qu'ils étaient nombreux à devoir se nourrir. Le Gné décida donc d'utilisé un moyen simple et rapide pour obtenir de l'argent : la prostitution. En effet les 11 commandements n'interdisaient cela en rien. Il pria donc la petite paramécie et la chèvre naine de s'installé au bord de la route dans une position aguicheuse. C'est alors qu'un riche pot de confiture passa par-là, ses poches tintant tant elles étaient remplies d'argent. En le voyant, le Gné en fut certain : il avait devant lui un nouveau disciple.
La paramécie et la chèvre naine accostèrent donc le pot de confiture, ce dernier allait se livrer à une vile action de proxénétisme équilatéral lorsque le grand Gné l'arrêta. Il lui parla ainsi:
"Ô, pot de confiture, toi dont le pécule vaut la contenance, toi que mamie nova à fait naître avec tant d'amour, vas-tu donc exercer tes basses pulsions sur tes congénères? Suis-moi plutôt, avec moi tu trouveras la paix, la sagesse et la vraie richesse, la richesse de l'âme spirituelle"
Et ainsi le pot de confiture, touché au plus profond de son âme (grâce à la chèvre et à la paramécie où grâce aux paroles du Gné, on ne le sait pas) donna toutes ses richesses au Gné, permettant ainsi l'achat de moult nourriture. Une fois leur panse remplie, le pot de confiture jura fidélité au Gné, et ils partirent tous vers le grand Baobab afin d'y rencontré la marmotte tropicale.
et non, je susi là!! je revis!!! wééééééééééééééééé!!!
désolée pour mon absence, mais j'ai été fort dédordée, tu travail en cours, des révisions, une semaine en amoureux avec mon copain, et reboulot, et puis plein de truc quoi!!
mais me voilà!! et allez suis gentille je met la suite!!

La quête des 26 disciples, partie 1.
Le Gné ayant chassé le radis hors de son potager, et ayant bien retourné le potiron lors de la pleine lune, décida qu'afin qu'une pareille hérésie ne se reproduise pas, il devait trouver des disciples qui porteront Son divin message par delà les limites convergentes de son potager. Il décida d'en prendre 26, car c'était logique
Le Gné parti donc, laissant derrière lui sa divine demeure et son potager céleste. Et Il descendit sur la terre nouvellement créée afin de trouver le premier de ses disciples. Il arpenta durant des heures les chemins poussiéreux et ventriloques dans l'espoir de croiser un être digne de le suivre.
Il le croisa, lors de la fête nationale de la vache, il se trouvait là des centaines de paramécies humaines venues pour gratter le cul de la vache, et une seule, lorsqu'elle aperçut le Gné, cria à ses congénères de s'arrêter, il leurs demanda de respecter la volonté toute édulcorée du Gné, et de ne pas gratter le cul de la vache, comme le lui avait appris le 3eme commandement, qu'il s'était procuré
par on ne sait quel miracle
Les autres paramécies, ne reconnaissant pas le Gné, continuèrent à gratter furieusement le cul de la vache, frottant toujours plus fort sur le postérieur de l'animal. Et la petite paramécie les regardait, implorant ses congénères d'arrêter car telle était la volonté du Gné. Mais personne n'écouta. Alors, la paramécie solitaire vînt s'agenouiller devant Lui, implorant le pardon pour ses congénères. Le Gné en eu la cuisse tourneboulée. Il proposa à la paramécie de devenir son premier disciple. Celle-ci accepta et, pour facilité le voyage trépidant et juguleux du Gné, lui proposa de chevauché sa tondeuse à gazon deux place avec sièges en cuir.
Le Gné accepta, il prit place sur la tondeuse a gazon, et parti avec son premier disciple, qui s'appelait saint pierre mais que tout le monde appelait jean pierre, ils partirent vers le pays du soleil couché, la bas loin au Nord ou les glaçons ont froid et ou les congélateurs vivent heureux, libres, et acidulés, ils partirent pour le petit-nez-land, chercher le deuxième disciple, dont, disait-on,
la sagesse était puéricultrice
La tondeuse à gazon filait à toute allure sur les routes de glace au chocolat de petit-nez-land. Ils croisèrent un troupeau de congélateurs en rut qui gambadait dans la glace au chocolat, aussi gracieusement que leur physique le leur permettait. Après quelques kilomètres, ils trouvèrent une ville isolée, recouverte de pamplemousses givrés. Ils s'y rendirent, et là, ils trouvèrent un mammouth à poil court, sur le dos se faisant attaquer par le plus terrible des fléaux : la marmaille!!!
La marmaille braillait, attaquait sans relâche le pauvre mammouth, lui faisant subir les pires supplices ventriloques possibles, le recouvrant de crachas et autres atrocités dont seuls ces êtres petits, mesquins et détestables ont le secret. Mais le Gné, vint et rétablit l'ordre dans tout cela, il expédia la marmaille d'une pichenette de son auriculaire, et, affichant un mépris profond dit
"Allez-vous en, car je suis le et ma volonté est que ce mammouth a poil ras ait la paramécie sauve"
Le mammouth, heureux de trouver de l'aide, s'agenouilla devant le Gné et fit frétiller son appendice nasal en guise de reconnaissance. Les yeux du pauvre pachyderme brillaient, tel un cassoulet au clair de lune par un matin de printemps lorsque le soleil brille pendant une éclipse. Le Gné reconnu immédiatement son deuxième disciple et lui proposa de l'accompagner dans son périple. Mais un problème allait survenir : la tondeuse à gazon deux places avec sièges en cuir n'avait, comme son nom l'indique, que deux places. C'est alors que le mammouth à poils courts, plein de gratitude et d'hémorroïdes envers le Gné, lui fit don de son tracteur agricole avec remorque
Le Gné monta donc dans le tracteur avec remorque, il emmenait avec lui ses deux disciples, la tondeuse a gazon qui pourrait à nouveau servir et sa mouffette a poil ras tricolore et myope qui l'avait suivi.
Il se mit en quête de son 3eme disciple, qu'il trouverait disait-on, dans les contreforts des montagnes, la ou le soleil trapézoïdal touche presque du bout de son oreille cornue la cime de la tête des forêts d'arbres séquoia. Mais le Gné ne savait pas, malgré son intelligence aussi étendue que du persil dans un potager d'Afrique, que ce n'était pas un nouveau disciple qui l'attendait, mais deux!!! Le joyeux groupe avançait sur le tracteur avec remorque, chantant les louanges du Gné ainsi que le dernier tube de Lorie, quand tout à coup, ils virent sur le petit chemin rocailleux, un amas de chair, de poil et de cornes. Ils s'arrêtèrent et découvrirent une chose étonnante : un abricot déguisé en père Noël monté sur le dos d'une chèvre naine.
L'abricot déguisé en père Noël et sa chèvre naine étaient tout rouleau pâtissier par cette divine apparition, et par ces chansons horribles comparables à un orchestre de scies musicales sur un tableau noir, il s'avança vers le Gné et sa suite, et dit ainsi: "je suis un abricot qui aime se déguiser en père noël, et elle une chèvre naine, nous avons besoin d'être vos disciples pour pouvoir acheter
des macaronis et de la sauce tomate"
Le Gné sentit une joie aussi soudaine que la diahrée monter en lui. Il avait trouvé deux nouveaux disciples. Il voyait la sagesse dans les yeux de la chèvre naine, et il reconnaissait en l'abricot un illustre personnage. De plus, leur cause était noble. En effet, quoi de mieux que d'aspirer au bonheur des macaronis et de la sauce tomate? Le Gné convia donc ses deux nouveaux compères à se joindre à lui et pris la direction du Grand Baobab, là où vivent les marmottes tropicales.
Il avait en effet décidé de faire d'une marmotte tropicale palmée a poil ras son nouveau disciple, la remorque du tracteur pouvant contenir aisément la chèvre naine et l'abricot, ils se mirent en route, toutefois, rapidement, un problème survint, ils avaient faim, en effet, le Gné et ses disciples avaient quittés leur chez eux respectifs depuis au moins un cycle de caribou enrhumé, ils décidèrent
alors de s'arrêter manger à un hippopotamus
Mais le problème est qu'aucun d'entre eux n'avait d'argent et qu'ils étaient nombreux à devoir se nourrir. Le Gné décida donc d'utilisé un moyen simple et rapide pour obtenir de l'argent : la prostitution. En effet les 11 commandements n'interdisaient cela en rien. Il pria donc la petite paramécie et la chèvre naine de s'installé au bord de la route dans une position aguicheuse. C'est alors qu'un riche pot de confiture passa par-là, ses poches tintant tant elles étaient remplies d'argent. En le voyant, le Gné en fut certain : il avait devant lui un nouveau disciple.
La paramécie et la chèvre naine accostèrent donc le pot de confiture, ce dernier allait se livrer à une vile action de proxénétisme équilatéral lorsque le grand Gné l'arrêta. Il lui parla ainsi:
"Ô, pot de confiture, toi dont le pécule vaut la contenance, toi que mamie nova à fait naître avec tant d'amour, vas-tu donc exercer tes basses pulsions sur tes congénères? Suis-moi plutôt, avec moi tu trouveras la paix, la sagesse et la vraie richesse, la richesse de l'âme spirituelle"
Et ainsi le pot de confiture, touché au plus profond de son âme (grâce à la chèvre et à la paramécie où grâce aux paroles du Gné, on ne le sait pas) donna toutes ses richesses au Gné, permettant ainsi l'achat de moult nourriture. Une fois leur panse remplie, le pot de confiture jura fidélité au Gné, et ils partirent tous vers le grand Baobab afin d'y rencontré la marmotte tropicale.
Vendredi 7 Novembre 2008 à 20:55
trop c'est trop!!!! :bravo: c'est genial,j'adore.Continue :up:
Rock'n'Roll train!!
Vendredi 7 Novembre 2008 à 22:52
Bravo, respect ... Il y a énormément de passages qui m'ont fait tordre de rire mais je pense celui-là est le meilleur "Les yeux du pauvre pachyderme brillaient, tel un cassoulet au clair de lune par un matin de printemps lorsque le soleil brille pendant une éclipse."
Et dire que mon père me reproche de devenir idiot à cause d'internet ! Tssss ...
Et dire que mon père me reproche de devenir idiot à cause d'internet ! Tssss ...
Le salsifi rabougri sera toujours à vos services !
Mercredi 12 Novembre 2008 à 14:41
allez, venez brave populace!! ne délaissez point le grand Gné, notre dieu a tous, le maître et créateur de toute chose!! venez admirer sa grâce divine.
bientot viendra la suite de la quête des 26 disciples, puis je vous présenterai bob, et vous conterai l'histoire de jojo l'homme paëla!! maintes aventure restent encore, alors ne partez pas!!
bientot viendra la suite de la quête des 26 disciples, puis je vous présenterai bob, et vous conterai l'histoire de jojo l'homme paëla!! maintes aventure restent encore, alors ne partez pas!!