Prodigy, un monde à part

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Jeudi 10 Octobre 2019 à 11:45

Chapitre 1er : Un enfant né de nulle part,

Dans un univers magique, plein de mystères et de questions, un nourrisson venait de voir le jour.

Ce nourrisson n’était pas n’importe quel enfant, puisqu’il s’agissait du premier être de l’univers, la première forme d’intelligence de l’univers tout entier. Ce nourrisson n’avait pas de parents ni de pays, c’était un enfant né de la seule volonté de l’univers.

Quelques années plus tard, l’enfant grandissant, il partit explorer son univers, poussé par une soif de connaissance propre aux enfants. Il découvrit des corps célestes en suspension dans l’espace, certains très chaud, d’autres solides, ou encore gazeux. Il remarqua également qu’une force d’attraction était exercée sur les corps les plus petits par ceux les plus gros. Ce phénomène le fit sourire, il voyait les petits corps célestes tourner autour des plus gros.

Continuant son exploration, il fut surpris dans son voyage par un évènement pour le moins surprenant, deux corps célestes étaient en train de fusionner, le résultat de cette fusion fut un amas gigantesque de gaz chaud. Sans le savoir, il venait d’assister à une collision entre deux planètes, et cette collision avait son importance.

Notre aventurier, maintenant plus âgé que certains des corps célestes qu’il avait pu observer, suivait depuis quelques temps un des débris de la collision qu’il avait eu la chance d’admirer. Dans sa course, il avait pu voir le débris se refroidir et geler, de telle manière que le débris était maintenant une boule de glace filant dans l’espace. La boule de glace finit sa course sur un corps céleste solide, tournant autour d’un corps chaud de couleur jaune, la boule de glace ne tarda pas à fondre et forma une grande étendue liquide de couleur bleue. L’aventurier s’approcha de cette étendue liquide et l’observa longtemps, très longtemps, suffisamment pour y voir apparaître une petite créature, ni bonne, ni mauvaise, simplement une créature. Cette créature intriguait beaucoup notre aventurier qui choisit de faire de ce corps céleste sa maison, il observait chaque jour sa petite créature, la protégeant comme un père. Ce qui était une petite créature devint des petites créatures, puis de plus grosses et d’encore plus grosses. Après avoir passé cinq millénaires à observer la vie apparaître sur sa planète, notre aventurier décida qu’il était temps pour lui de quitter son foyer et de repartir en voyage pour explorer le reste de l’univers, il laissa donc ses créatures se débrouiller seules et reparti dans l’immensité de l’espace, de la manière dont il était venu.

 

-« Alors les enfants, que pensez-vous de mon histoire ? », demanda le doyen du village aux enfants qui l’écoutaient attentivement.

-« Elle est nulle ! », affirma un des enfants du fond du groupe, « Personne peut vivre aussi longtemps, c’est ridicule. En plus, on peut pas vivre dans l’espace. », ajouta-t-il sur un ton hautain.

-« Ai-je précisé que notre aventurier était vivant ? », rétorqua le doyen avec un sourire en coin.

-« Ça suffit Charles, arrête de raconter cette histoire aux enfants. », dit une femme d’une douce voix.

La femme, richement vêtue et de belle parure, était venue chercher le vieil homme pour le conduire près du chef du village. Elle prit la main de l’homme qui peinait à se relever et le conduisit jusque chez le chef du village.

-« Ah ! Te voici Charles. Merci Meredith, tu peux disposer. », dit le chef en voyant Charles et Meredith entrer dans sa maison. La femme partie, il ajouta : « Charles, je voulais te voir au sujet de cette trouvaille que notre héros a faite l’autre jour. Je pense qu’il s’agit d’une relique de cet aventurier dont tu parles si souvent aux enfants, regarde sur cette photo. », le chef tendis une photographie d’un homme en armure, ailé, qui tenait dans ses bras une pierre produisant une incroyable quantité de lumière blanche. « En ta qualité d’expert sur cette époque, je voulais savoir ce que tu en pensais. »

-« Je ne crois pas me souvenir d’une quelconque pierre dans la légende, mais je vais y réfléchir et je viendrais te v… », Charles s’arrêta brusquement au milieu de sa phrase en regardant la photographie, puis il reprit sur un ton paniqué : « Où ?! Où a-t-il trouvé ça ?! Pourquoi je n’en ai pas entendu parler avant ?! »

-« Je ne sais pas, tout va bien Charles tu as l’air paniqué, quelque chose ne va pas avec cette pierre ? », interrogea le chef inquiet pour Charles.

-« Non ! Tout ne va pas bien ! Cette pierre, ce n’est pas une relique d’un temps passé, c’est une relique du temps présent, elle appartient à Gawim, et il faut lui rendre avant qu’il ne se rende compte qu’elle a été prise, sinon il va mourir ! », affolé, le doyen commença à se relever mais, trébuchant, s’écrasa au sol.

            Le chef l’aidant à se relever repris la conversation :

-« Qui va mourir ? Charles, tu m’inquiètes, expliques-toi, qui est ce Gawim ? »

            Le doyen debout, il reprit son souffle avant de répondre :

-« L’aventurier de mon histoire, il existe bel et bien, il est encore quelque part dans l’espace. Il observe et il apprend d ce qu’il voit et bien qu’au début il voyait de belles choses, ça a vite changé. Maintenant qu’il a vu la guerre et la mort, il n’est plus le même, celui qui était autrefois connu sous le nom de Miwag « le sage », est devenu Gawim « le démon », un être terrifiant qui n’hésite pas à tuer et détruire tout ce qui le dérange. », le doyen fini sa phrase en fondant en larmes.

-« Charles, voyons ne soit pas bête, si ton aventurier existait vraiment ça fait bien longtemps qu’il serait mort, de vieillesse ou d’autre chose. », dit le chef en essayant de calmer le doyen.

-« Tu n’as toujours pas compris, il n’est pas « vivant », il est autre chose, sans âge, sans limite, un être tout puissant… », expliqua le doyen, effrayé, avant de quitter la maison du chef.

 

Chapitre 2nd : Un héros inattendu

            Le jeune Fetkyol était un enfant normal, pas une seule caractéristique qui le distinguait des autres, il n’était pas plus beau, pas plus fort, plus intelligent ou plus sociable qu’un autre enfant. Mais cela changea du tout au tout dès lors qu’il atteignit l’âge de 46 ans (pour cette espèce ce n’est pas vieux, en âge humain cela représente environ 15 ans), où il se mit à développer une force colossale.

Presque du jour au lendemain, il était passé d’un jeune homme capable de soulever à peine 35 kilogrammes, à un jeune homme exceptionnel capable de soulever d’une seule main 500 kilogrammes. Comment un tel miracle était-il possible ? Une seule réponse, la magie.

Bien qu’à l’époque personne ne savait comment cela fonctionnait, tout le monde en était sûr, Fetkyol était probablement le premier être vivant à développer sa magie, sans forcément en avoir conscience.

Il se servit de ses nouveaux pouvoirs pour faire le bien autour de lui et devint un héros aux yeux de tous. Un héros inattendu, aux pouvoirs surprenants et au grand cœur.

Sa réputation grandissante, il profita tout de même de ses pouvoirs pour réaliser son rêve d’enfance : voyager dans l’espace. Il s’ajouta à la liste des explorateurs qui partirent pour une très longue expédition. Cette expédition avait pour but de récolter des informations sur une planète très isolée, loin de tout, cette planète semblait vierge de toute vie. Aucun animal, aucun végétal, aucun insecte, rien, rien d’autre que de la roche et du sable.

Un journal fut tenu par chacun des membres de l’expédition, mais au retour du vaisseau, seul celui de Fetkyol était lisible. Tous les autres devenaient de plus en plus confus et mal écrit avec le temps, et finirent par être totalement illisibles. Mais ce n’était pas tout, les membres de l’expédition qui n’avaient pas péris sur la planète étaient devenus complètement fous, certains s’étaient arrachés la langue, d’autres s’étaient brûlés à vif, d’autres encore s’étaient suicidés… Un seul membre de l’expédition avait gardé l’esprit clair bien qu’un peu désorienté, Fetkyol. Mais même l’esprit clair il lui était devenu impossible de parler de cette expédition, tous durent donc s’en tenir à son journal de bord.

« Jour 1 :

Nous venons de poser pied sur Noctilya, nous montons le camp sans perdre de temps avant toute première sortie sur le territoire.

Je ne peux pas cacher ma joie d’être arrivé sur cette planète dont on ne sait rien encore.

Le campement installé, nous laisserons les scientifiques régler les machines et commencerons à explorer les environs proches avec les autres. »

« Jour 2 :

Nous commençons déjà à comprendre pourquoi il n’y a rien ici. Les intempéries sont d’une extrême violence, notre campement a à peine tenu la première tempête de sable, et nous ne pourrons pas sortir avant demain midi, ou avant d’avoir déblayé la sortie.

Je suis toujours très heureux d’être ici, mais je commence à me demander comment explorer en profondeur cette planète si de telles tempêtes peuvent nous surprendre. »

« Jour 3 :

Rien de particulier, nous ne sommes pas sorti, car une de nos machines est tombée en panne à cause du sable, les scientifiques sont en train de la réparer. »

« Jour 4 :

Enfin, nous voici en pleine action, nous sommes en pleine expédition dans l’inconnu, les vallées sont magnifiques, je peux voir au loin des pics rocheux de dizaines de mètres de hauts, et les montagnes que je peux voir dans l’horizon me font rêver. J’ai vraiment hâte de trouver quelque chose d’intriguant dans ces contrées. »

« Jour 5 :

Toujours en marche, nous avançons rapidement, les plateaux sont à notre avantage et le vent ne se lève plus depuis la dernière tempête. Nous sommes confiants et rassurés, nous continuons de nous enfoncer dans les plaines en direction des pics. »

« Jour 6 :

Nous commençons à fatiguer, nous allons faire une halte avant de reprendre. Parmi nous, un seul blessé, il s’est tordu la cheville après avoir mal enjambé un trou dans le sol. Nous ne tarderons pas à repartir. »

« Jour 7 :

Un drame vient de se produire… Fred vient de chuter dans un gouffre… Nous avons enté tout notre possible pour retrouver son corps mais rien n’y a fait, son corps a été aspiré dans le sable. Le gouffre était parfaitement dissimulé, et certains se demandent encore comment cela a pu arriver.

Je trouvais Fred très gentil, c’était un superbe éclaireur. Un affaissement de terrain ne doit plus nous surprendre de la sorte, alors c’est décidé, je prends les devants maintenant. »

« Jour 11 :

Cela fait quelques jours que je n’ai pas écrits, il faut dire que les vallées ne sont pas de tout repos ces temps-ci. Entre les affaissements de terrain qui se multiplient, le vent qui commence à se lever et la fatigue, nous avons beaucoup ralenti le rythme.

Sans compter que le moral n’est pas au plus haut depuis la disparition de Fred, mais nous faisons aller. »

« Jour 35 :

Nous avons enfin dépassé les pics rocheux que je voyais au loin il y a déjà… Je ne sais plus trop…. Toujours est-il que nous voici dans une immense plaine, déserte. Le vent s’est arrêté aussitôt que nous avions dépassés les pics rocheux. En avançant encore plus loin nous devrions pouvoir rejoindre les cavernes que je crois apercevoir.

Je ne sais pas exactement pourquoi mais je me sens bizarre, je ne me souviens plus du jour ni de l’heure. Je pense ne pas être le seul à me sentir bizarre, quand je pose la question, tout le monde semble éviter le sujet et fait mine de rien. »

« Jour 48 :

Nous approchons des cavernes, d’ici trois jours nous devrions les avoir rejoint.

Je commence à totalement perdre la notion du temps ici, je veux dire plus qu’avant. Je pouvais, il y a quelques jours, donner à peu près l’heure par rapport au soleil, mais c’est devenu impossible. Parfois j’ai l’impression que nous marchons depuis des heures, mais le soleil ne bouge pas, et d’autres fois j’ai l’impression que cela ne fait que quelques minutes alors qu’il fait déjà nuit. Je ne sais plus du tout comment faire, et tout le monde évite encore le sujet et fait comme i tout était normal.

Je commence sérieusement à en avoir assez de leur comportement… »

« Jour 103 ? :

Nous arrivons enfin aux cavernes. Je n’y croyais plus. Nous avons pris plus de temps à faire trois kilomètres qu’à en faire soixante. Le temps est étrange, il ne s’écoule pas normalement. J’en ai la certitude, et j’en ai fait part au groupe, qui ne semble pas s’en préoccuper.

Je me sens de plus en plus bizarre, je commence à avoir des hallucinations sonores et visuelles. Cela me perturbe au plus haut point, mais le médecin refuse de m’examiner. J’aimerais comprendre ce qui ne va pas avec le groupe mais je n’y comprends rien. Ils paraissent très tendu, et ne parlent presque plus du tout. »

« Jour 103 ? :

C’est bizarre mais cette fois le soleil ne s’est pas couché. J’ai trouvé un moyen de mesurer le temps qui passe. Cela fait environ quatre jours que le soleil n’a pas bougé dans le ciel. Je jurerai même l’avoir vu reculer… mais bon cela doit être mon imagination.

Je ne me sens vraiment pas bien et le groupe commence à m’effrayer. Leurs regards sont emplis de haine à l’égard  de tout le monde. J’ai peur que quelque chose de grave n’arrive… »

« Jour 103 ? :

Ça n’a pas manqué… Je suis dans une des cavernes… Je me cache… J’ai peur et froid…

L’ambiance était déjà très tendue, et un seul mot a suffi à la rendre explosive. Tout le monde s’est mis se hurler dessus. Ils en sont vite venus aux mains, et ayant tenté de les séparer, ils se sont tous mis à vouloir ma peau. J’ai peur et mon sentiment de malaise et de plus en plus fort. Je me sens stressé, tendu, un peu comme les autres, mais beaucoup moins fort. Je ne veux pas finir comme eux… Aidez-moi… »

« Jour 104 :

Je me suis enfoncé dans la caverne et j’ai fait une découverte prodigieuse. Une petite pierre, tenant dans la main, qui émet une lumière incroyable. Une lumière claire et parfaitement homogène, bienveillante… Je me sens rassuré avec cette pierre dans la main, mais j’ai peur que sa lumière ne trahisse ma position. Je vais la cacher comme je peux et essayer de rentrer au campement.

Je ne désire plus qu’une seule chose, rentrer chez moi. »

« Jour 124 :

Cela doit faire environ dix jours que je marche, je n’ai pas mangé depuis une bonne semaine et je n’ai presque plus d’eau… Je ne pense pas tenir très longtemps à ce rythme…

Je meurs de faim et je ne tarderais pas à mourir de soif, mais je suis apaisé, cela faisait longtemps que je ne m’étais pas senti aussi bien. En fait, je crois que je ne me suis jamais senti aussi bien que depuis que j’ai cette pierre. »

« Jour 132 :

Ça y est, je n’ai plus d’eau… et il doit me rester encore deux bonnes semaines de marche. Je ne sais pas comment je vais tenir jusque là-bas mais je ne vais pas m’arrêter. Je ne sais pas s’ils me suivent encore et je n’ai pas envie de le savoir. »

« Jour 135 :

Étrange… Cela doit faire près de trois jours que je n’ai pas bu, deux semaines que je n’ai pas mangé et pourtant je ne fatigue pas, je n’ai plus faim, plus soif. C’est comme si mon corps puisait de l’énergie ailleurs… »

« Jour 144 :

Je suis déjà arrivé au campement, bien plus vite que je ne le pensais. J’ai même réussi à courir la moitié du chemin. Je me sens toujours aussi bien, j’espère que cela va durer.

Je n’entends personne dans le campement, je me demande où ils ont bien pu passer. »

« Jour 145 :

Horreur… il n’y pas d’autre mot qui me vienne à la bouche après avoir vu ce spectacle… Tous les scientifiques massacrés, entretués, suicidés… Je ne sais pas du tout quoi faire, mon sentiment de malaise revient, je crois que les autres m’ont rattrapés.

Je ne veux pas leur faire de mal, je vais essayer de les piéger, de les enfermer dans les cellules du vaisseau, en les séparant pour éviter qu’il ne leur arrive du mal. »

« Jour ??? :

J’ai arrêté de compter les jours depuis que je suis dans le vaisseau. J’ai réussi à sauver presque la moitié des hommes, mais les autres n’ont pas voulu coopérer et se sont suicidés. J’avais peur que les autres ne fassent de même alors je les ais assommés. Je suis en chemin pour rentrer… rentrer à la maison. »

Après que ce journal ai été lu par le commanditaire de l’expédition, Fetkyol fut convoqué immédiatement, il va faire la une des journaux et des émissions TV, il doit raconter une histoire, mais pas la vérité.

Dans un souffle de vent, prendre son envol pour atteindre le ciel.
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Jeudi 10 Octobre 2019 à 11:46

Je vais aussi m'essayer à l'écriture, je suis ouvert à toutes les critiques n'hésitez pas si vous avez des conseils ou des recommendations en plus.

Dans un souffle de vent, prendre son envol pour atteindre le ciel.
(Administrateur)
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Master Chief
Dragon Quest SlimeDragon Quest SlimeDragon Quest SlimeDragon Quest SlimeDragon Quest SlimeDragon Quest Slime
Jeudi 10 Octobre 2019 à 16:38

Je trouve ça bien écrit, mais j'ai une question: ça se passe dans l'univers de Dragon Quest ou pas?

(Dans le cas contraire pas de soucis pour que tu continues évidemment!)

Rien qu'une seconde... S'enflammer comme un éclair!
92844
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Jeudi 10 Octobre 2019 à 16:50

Non cela ne se passe pas dans l'univers de dragon quest, c'est une œuvre originale sur laquelle je travaille depuis quelques temps et que je commence à mettre par écrit.

Et merci pour le compliment laugh

Dans un souffle de vent, prendre son envol pour atteindre le ciel.
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Mister DQFan
Dragon Quest SlimeDragon Quest SlimeDragon Quest SlimeDragon Quest SlimeDragon Quest Slime
Jeudi 10 Octobre 2019 à 23:04

Intriguante cette histoire !

En tout cas c'est très bien écrit, rien à dire wink

Bon courage pour la suite yes

Let me sing you a song, and let's sing along
92844
Membre
Vendredi 11 Octobre 2019 à 05:29

Merci Tokah ça fait plaisir j'ai déjà commencé à écrire la suite mais ça ne sera pas pour maintenant elle est plus longue et plus animée

Dans un souffle de vent, prendre son envol pour atteindre le ciel.
92844
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Lundi 28 Octobre 2019 à 13:51

Bonjour,

Chapitre 2 en ligne, bonne lecture à tous wink.

Si vous avez des remarques ou des demandes n'hésitez pas.

Dans un souffle de vent, prendre son envol pour atteindre le ciel.
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Mister DQFan
Dragon Quest SlimeDragon Quest SlimeDragon Quest SlimeDragon Quest SlimeDragon Quest Slime
Lundi 28 Octobre 2019 à 17:10

Wouah, excellent ce chapitre 2 ! Ton écriture est très bonne, le journal de bord est très plaisant à lire yes

Intriguante cette histoire, tout comme ce lieu. On dirait Grand Line de One Piece : un endroit tout déréglé ou tout peut arriver n'importe comment.

Bon courage pour écrire la suite smiley

Let me sing you a song, and let's sing along
92844
Membre
Lundi 28 Octobre 2019 à 22:23

Merci Tokah, toujours sympathique de recevoir des compliments laugh

Dans un souffle de vent, prendre son envol pour atteindre le ciel.